Blanquefort : Un prix pour Circouleur et ses peintures reyclées
La start-up, soutenue par Bordeaux Technowest, vient d’obtenir le premier prix national du Créateur d’une entreprise sociale
À la fois fabricant de peintures issues du recyclage et générateur d’emplois solidaires, la jeune start-up blanquefortaise, Circouleur, vient d’obtenir le premier prix national du Créateur d’une entreprise sociale (prix Créenso). Lequel est décerné par une école de commerce, l’Iéseg, et par la Fondation Ceetrus pour l’Entrepreneur social .
L’idée de produire de la peinture recyclée, fabriquée à partir de fonds de pots non utilisés, a été lancée, en 2017 par Maïlys Grau, aujourd’hui présidente de Circouleur. Cette jeune ingénieure en chimie s’est inspirée de l’exemple québécois. « Je venais de faire des travaux de peinture chez moi et j’ai pensé que c’était une hérésie que d’incinérer ce qui restait dans les pots. J’ai donc décidé de me lancer dans cette activité de recyclage, très motivée par l’impact positif sur l’environnement » explique-t-elle.
L’idée de produire de la peinture recyclée, fabriquée à partir de fonds de pots non utilisés, a été lancée, en 2017 par Maïlys Grau, aujourd’hui présidente de Circouleur. Cette jeune ingénieure en chimie s’est inspirée de l’exemple québécois. « Je venais de faire des travaux de peinture chez moi et j’ai pensé que c’était une hérésie que d’incinérer ce qui restait dans les pots. J’ai donc décidé de me lancer dans cette activité de recyclage, très motivée par l’impact positif sur l’environnement » explique-t-elle.
Le prix : une aide financière de 10 000 euros et une année de » mécénat de compétence » d’un étudiant en Master de l’Iéseg
Circouleur a fait ses premiers pas au sein de l’incubateur d’entreprises de l’Ecoparc, à Blanquefort, géré par Bordeaux Technowest et spécialisé dans les initiatives écoresponsables qui continue à l’aider dans son développement.
11 salariés
Aujourd’hui, Circouleur emploie 11 salariés, dont un issu de la réinsertion. Elle confie les missions d’étiquetage des pots à l’Etablissement d’aide par le travail ( Esat) de Blanquefort. La jeune société commercialise ses peintures via une dizaine de magasins ( de la petite boutique à la grande surface). Et approvisionne aussi des professionnels du bâtiment ou encore le bailleur social Aquitanis.
Un laboratoire au sein de l’Ecoparc
Si elle continue à sous-traiter la fabrication des peintures, la start-up blanquefortaise dispose désormais d’un laboratoire, au sein de l’Ecoparc, pour la formulation de ses productions. Elle travaille également avec le laboratoire de chimie LCPO de l’université de Bordeaux, comme le précise Marianne Rittaud, directrice commerciale. Pour les couleurs, un nuancier a été créé avec l’aide d’un cabinet de tendance parisien.
Le Prix national du créateur d’une entreprise sociale permet à Circouleur d’obtenir une aide financière de 10 000 euros et une année de » mécénat de compétence » d’un étudiant en Master de l’Iéseg.
11 salariés
Aujourd’hui, Circouleur emploie 11 salariés, dont un issu de la réinsertion. Elle confie les missions d’étiquetage des pots à l’Etablissement d’aide par le travail ( Esat) de Blanquefort. La jeune société commercialise ses peintures via une dizaine de magasins ( de la petite boutique à la grande surface). Et approvisionne aussi des professionnels du bâtiment ou encore le bailleur social Aquitanis.
Un laboratoire au sein de l’Ecoparc
Si elle continue à sous-traiter la fabrication des peintures, la start-up blanquefortaise dispose désormais d’un laboratoire, au sein de l’Ecoparc, pour la formulation de ses productions. Elle travaille également avec le laboratoire de chimie LCPO de l’université de Bordeaux, comme le précise Marianne Rittaud, directrice commerciale. Pour les couleurs, un nuancier a été créé avec l’aide d’un cabinet de tendance parisien.
Le Prix national du créateur d’une entreprise sociale permet à Circouleur d’obtenir une aide financière de 10 000 euros et une année de » mécénat de compétence » d’un étudiant en Master de l’Iéseg.